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Avis sur les jeux d’argent dans la littérature

Les jeux d’argent nourrissent bon nombre de passions et de fantasmes, c’est pourquoi il va de pair qu’ils ont une place toute choisie dans l’écriture. Ils présentent bon nombre d’avantages et sont très utilisés car leurs dimensions apportent une symbolique en plus de narrer sur un sujet qui a traversé les siècles. Un univers enivrant Les jeux d’argent peuvent entrainer les lecteurs dans diverses sphères du monde ainsi que diverses époques. Que ça soit le XXIe siècle et ses bâtiments luxueux, l’après-guerre avec le développement des casinos, des tripots dans les salles secondaires de certains établissements, du monde corrompu de la mafia à l’effigie de Mickey Cohen, de l’époque Victorienne dans des salons bourgeois d’une splendeur et d’un goût certain ou bien même la conquête de l’ouest dans les saloons, les jeux d’argent apporterons une dimension sans nul égard a un ouvrage. Construction d’un personnage Il est vrai que lorsque l’on parle de jeux d’argent dans la littérature, on peut penser directement à Casino Royale d’Ian Flemming. Le célèbre écrivain et père de James Bond a écrit son récit sur l’univers du casino. Mais la particularité à noter est le fait que notre espion favori, sait jouer au poker d’une façon magistrale, ce qui donne des passages très envoutants. En effet, en intégrant la faculté de savoir jouer à un jeu d’argent, tel que le poker, on s’aperçoit que cela donne une certaine prestance au personnage, une sorte de mythe du joueur imbattable. Par ailleurs, il est aussi possible de faire d’un personnage, quelqu’un d’accro aux jeux, impulsif ou véritable génie. Un chanceux voyant sa vie basculer grâce au jackpot ou une descente aux enfers. Des caractéristiques riches et variées donnant aux protagonistes, un charisme indéniable. Une pluralité de styles de romans Par styles, entendons bien qu’il peut s’agir d’un thriller, un roman d’aventure, un roman réaliste, historique ou même autobiographique. Incorporer les jeux d’argent dans un récit offre la possibilité d’écrire avec des actions très variées. L’action peut être violente avec un récit intégrant, par exemple, de la corruption ou un braquage. Elle peut être paisible, avec des parties pacifiques autour d’une table durant une réception. Mais aussi palpitante avec le déroulement d’une compétition entre professionnels chevronnés. Concernant les ouvrages autobiographiques, notamment d’un joueur professionnel, il est intéressant d’entrer dans la tête et la vie d’un joueur pour comprendre les rouages, techniques et péripéties d’un professionnel. Notre conclusion Jouons cartes sur tables, incorporer les jeux d’argent dans la littérature peut apporter beaucoup à un récit. Que cela soit le thème principal, un décor instaurant une ambiance, une caractéristique d’un personnage (principal ou secondaire) ou simplement un détail de l’histoire, cet univers donnera de la profondeur au récit et accompagnera les lecteurs, qu’ils soient passionnés ou amateurs de jeu.

La Moustache, Paul Valéry

Non ce n’est pas un poème, ni même le titre d’un livre ou d’un essai publié par l’écrivain français Paul Valéry, mais belle est bien une œuvre qui, sans le vouloir, arpente sa signature : sa moustache. Histoire de la moustache et influence Avant de commencer notre explication sur cette œuvre dont on parle peu, il faut savoir qu’en France la moustache était un symbole d’autorité, de virilité. Et si on traverse les frontières, on peut aussi s’apercevoir que dans certains pays du sud ou du Moyen-Orient, elle symbolise l’honneur. Et tout comme le chinon chez les samouraïs, un homme déshonoré n’est plus digne de la porter. Les grands noms de la moustache Aussi, lorsque nous parlons de moustache, nous pensons évidement a de grands noms tel que Salvador Dali, Charlie Chaplin et Sir Arthur Conan Doyle. Des moustaches qui ont forgées le style de légendes et maitres par leur style. Malheureusement le style et la délicatesse de la moustache ne façonnent pas les esprits les plus brillants ou les personnes les plus admirables. Oui, on parle bien de ce petit allemand. D’ailleurs, pour l’anecdote, Hitler a plagié la moustache du célèbre Charlie Chaplin, celui-ci ne l’ayant pas vu de cet œil, a réalisé le grand classique The Dictator, bien joué Charlo. Après la mort de Paul Valéry, le monde a vu naitre d’autres icônes de la moustache allant du formidable Freddie Mercury jusqu’au catcheur à la musculature impressionnante, Hulk Hogan. L’œuvre d’une vie La moustache de Paul Valérie ornait le haut de sa bouche. Allant du bas de son nez jusqu’aux confins de sa lèvre supérieure, elle fit figure d’assurance sur ce personnage. Elle lui donnait une prestance physique indiscutable, c’était comme une sorte de signature. Ajoutez à cela une éloquence distinctive entre toutes et un style d’écriture que l’on peut aisément différencier des autres, vous aurez un poète dont la réflexion n’a d’égal que son talent. Cette moustache est à Paul Valéry, ce que le nez est à Cyrano de Bergerac. Et c’est pour dire, Edmond Rostand lui-même avait une glorieuse moustache imposante. À l’époque, la moustache était très populaire chez les hommes. Bien qu’elle soit revenue à la mode avec les générations suivantes, c’est un trait d’époque irréfutable. Toujours impeccablement taillé, pas un poil de travers, cette moustache fait sans nul doute partie des plus célèbres. En plus d’un grand penseur, Paul Valéry avait ce style pilaire qui traversera des générations, qui influencera encore bon nombre de personne et restera un ornement emblématique d’une figure iconique.